Canalisation publique du 15 juin 2021 par Sylvain Didelot, retranscrite par Marie-Claire.
Âmes de Lumière et d’Amour, consciences infinies que vous êtes, bonsoir. Bonsoir et bonjour à chacun d’entre vous.
Je suis celui que vous avez appelé l’archange Raphaël. Ne vous posez pas tant de questions sur qui je suis, sur celui que je représente qui est la divinité, qui est votre état d’être parfait, qui est ce que vous êtes en quelque sorte. Je vous invite, dès à présent, à ouvrir votre cœur et votre conscience au message que nous allons diffuser ce soir, en ce jour, pour chacun d’entre vous.
J’aimerais vous parler de la santé. J’aimerais vous parler d’état d’être – pendant que j’essaie de réparer celui de Sylvain.
Comprenez ceci, la vérité de votre corps est complexe, très complexe. Vous êtes des êtres qui êtes faits d’énergies, d’informations, de consciences qui se croisent et s’entrecroisent. Vous avez beaucoup, beaucoup d’aspects en vous. Si je ne devais parler de santé que par le corps, je ferais une erreur. Si je ne devais parler de santé que par l’esprit, je ferais encore une erreur. Si je devais parler de santé par l’énergie, je ferais encore une erreur, car chacune de ces facettes, consciences, informations, énergies, corporalité, manifestations dans la matière, tout cela est important, tout cela fait partie de ce que vous appelez la santé.
Alors j’ai souvent, personnellement, cette même question : comment font-ils pour être malades ? Comment font-ils pour croire qu’ils peuvent l’être ?
En vérité, tout est une expression d’informations. Tout est une expression de conscience, encore une fois.
Alors écoutez-moi, profondément et sincèrement s’il vous plaît. Votre état naturel est la santé. Cela peut paraître évident de vous dire cela ainsi mais ça ne l’est pas, car ce que je veux vous dire, c’est que votre état dans la matière, dans la conscience, dans l’esprit, a déjà un niveau de perfection.
La maladie, en vérité, qu’elle soit mentale, physique, émotionnelle, spirituelle, est un écart par rapport à cet état d’être d’origine, cette matrice originelle qui vous compose, cet éclat divin d’informations divines que vous êtes et que vous manifestez dans la matière, à travers un corps d’énergies, d’énergies densifiées.
Il existe deux grandes énergies dans votre univers. Une énergie qui vous relie à l’Unité, qui vous relie à votre Conscience supérieure, qui vous relie à vos frères et sœurs, qui vous relie à la matrice. Cette énergie est évidemment celle de l’Amour et le fait de « se sentir bien avec », avec une information, avec un moment, avec ce qui est, quel que soit ce qui est. Et il existe une autre énergie qui vous sépare, c’est celle de la Peur. Et la peur a de multiples facettes : l’angoisse, la colère, le stress négatif, la dépression, qui est en fait la validation d’une peur.
C’est tellement important de choisir mes amis. Quand je viens de dire « validation d’une peur », vous aurez compris que malgré les apparences, la peur est quelque chose qui se choisit. Je choisis d’avoir peur.
Même si vous tombiez d’un avion sans parachute, et que vous sachiez profondément, que pour votre corps physique il y a quand même de fortes chances que le voyage se termine là, aussi, vous pouvez choisir de vivre cela comme une expérience d’amour ou passer votre temps de chute à regretter, à crier, à hurler, à refuser, à ne pas accepter, ou vous pouvez observer cela et vous poser dans la main de Dieu, dans cet amour qui vous dit « je serai pris en charge ; quoiqu’il arrive je ne suis pas ce corps, je ne suis pas que ce corps ».
Même dans ces circonstances extrêmes, vous pourrez toujours choisir. Il y en aura parmi vous qui pourraient vivre cela de manière, je dirai calme, posée et une grande majorité, par apprentissage, qui paniquerait, qui refuserait.
Mais voyez, j’ai pris l’exemple de cet homme ou de cette femme qui saute d’un avion pour vous dire que vous n’avez pas le choix, dans ce saut, trop tard vous êtes dans l’air, parce que cela aussi est quelque chose qui vous rend malade : le fait de refuser d’avoir pris une décision, de ne pas assumer une décision.
Un comportement à l’intérieur de vous peut vous rendre malade. Vous pouvez passer le temps pendant votre saut dans le vide à dire : « je n’aurais pas dû sauter de l’avion », mais vous êtes déjà dans l’air. Il y a encore d’autres manières de choisir, même dans une expérience de peur, il y a encore des façons de choisir les conséquences de celle-ci à moyen et à long terme, et à court terme parfois, en vous disant : « OK j’ai eu peur, je l’accepte ».[Toux de Sylvain] Voyez ce corps se défend contre des agresseurs qui n’existent pas, comme des pollens, mais ils peuvent être acceptés.
Osez, vous avez toujours une possibilité de choisir.
Une des lois primordiales de l’univers est bien entendu celle du libre arbitre. C’est cette loi qui fait que vous pouvez provoquer des actes, les accélérer, les ralentir. On vous donne beaucoup plus de possibilités. C’est votre volant dans votre action dans l’univers. Un volant individuel et aussi un volant collectif que ce libre arbitre, ce choix, ce choix. Alors je vous invite à ne pas avoir peur, pour être en bonne santé.
Continuons, poursuivons ce chemin de compréhension en vous. Imaginez, chers amis, que pour traverser une rue, je pose sur le sol une planche qui fasse, je ne sais pas, dix centimètres, dix de vos centimètres. Je vous demande de marcher sur cette planche que j’ai posée au sol sur la rue, pour traverser la rue. La planche est solide, la planche est forte, elle est épaisse. Vous marchez dessus en riant.
J’ai déjà donné cet exemple mais je poursuis. Je pose cette même planche au premier étage d’une maison, entre deux maisons qui sont chacune de chaque côté de la rue, et je vous redemande de faire le même exercice. La planche est toujours aussi solide mais vous commencez déjà à avoir peur de tomber, à réfléchir aux conséquences de ce qui n’est pas arrivé encore, qui n’arrivera pas. Si je pose cette même planche au dixième étage, entre deux dixièmes étages à la même hauteur, la plupart d’entre vous n’oseraient même pas poser le pied sur la planche. Qu’est-ce qui vous sépare de l’expérience ? Qu’est-ce qui fait que vous l’avez bien pris ou mal pris ? Votre peur, votre appréhension de ce qui n’est pas, de ce qui n’arrivera pas, une sorte de manque de confiance dans vos pas et cela aussi provoque la maladie : le manque de confiance dans les pas que vous faites. Ayez confiance dans le fait que quels que soient vos pas, ils sont associés à votre divinité, à votre chemin parfait, qu’ils vous mènent à un endroit ou à un autre importe peu, ce sont vos pas.
Vos pas ne vous tueront pas, vos choix ne vous tueront pas. Mais si vous faites des choix qui sont les choix d’autres personnes, si vous faites des choix par obligation totale, ces choix-là doivent être alignés en vous avant de les effectuer. Soit vous êtes dans l’acceptation qu’on vous impose un choix, mais vous l’acceptez, mais si vous le faites à contrecœur – c’est le mot que vous utilisez – là aussi, vous allez enregistrer dans votre corps une information qui va exprimer la peur d’avoir mal agi, la peur d’avoir mal fait.
Et donc, un des moyens de ne pas être malade, c’est de marcher dans ses pas et de ne pas, ou le moins souvent possible, faire de choses à contrecœur, peut-être en association en vous disant : « je le fais pour le moment, ce n’est pas mon envie principale mais j’y vais ». Ce sera moins difficile qu’à contrecœur « pur », c’est-à-dire dans cette sensation forte que tout est faux ici.
Vous êtes invités donc à agir par le cœur, à agir par la conscience.
Voyez comme ici la peur est destructrice. La peur de tomber provoquera des problèmes dans les points d’équilibre. La peur de mourir attaquera votre cœur ou vos poumons parce que vous ne saurez plus comment respirer, vous aurez l’impression de ne pas être libre. Vos yeux seront attaqués symboliquement, quand vous voudriez voir autre chose que ce qui est. Ne faites pas de généralités avec ces définitions, ces décodages que j’évoque. Il s’agit de vous dire qu’il y a une peur derrière ceci. De quoi ai-je peur ?
Je vous invite à remarquer à quel point autour de vous, ceux qui n’ont plus peur de la mort, ceux qui n’ont plus peur de ce passage, en fait, sont souvent moins malades, moins malheureux que les autres, parce qu’ils vivent leur expérience dans un corps connu pour être temporaire, connu pour être une énergie, une densification de l’Unité divine.
Dans votre corps physique, il y a une somme d’informations qui sont en harmonie, et ce que vous mangez, est aussi de l’information. La plupart des molécules non chimiques ne provoquent pas de dégradation de l’information dans votre corps. La plupart des molécules fabriquées, non naturelles, peuvent provoquer dans votre corps une disharmonie de l’information, une nécessité de s’autoréguler. Cela va donner des conséquences plus ou moins graves sur l’énergie du corps, sur son potentiel en santé. Je vous invite donc à laisser entrer dans votre corps les éléments les plus naturels qui soient. Tout ce qui provient de la nature, globalement, sera accepté par votre corps à part, bien sûr, certains poisons naturels.
Ce que font les molécules chimiques en vous, c’est qu’elles contournent le fonctionnement conventionnel de votre corps, elles contournent les habitudes de fonctionnement de l’énergie en vous. C’est comme mettre un caillou dans une rivière. La rivière s’adapte, l’eau continue à contourner le caillou, cela ne pose pas de difficulté. Mais si vous ajoutez des centaines de cailloux, vous pourriez relativement rapidement faire monter le niveau de l’eau en créant une sorte de barrage, et finalement, une énergie qui serait trop forte ou une fluctuation de cette eau qui serait différente, et vous provoqueriez des changements de courants, des changements d’énergie. C’est ce qu’il se passe avec la majorité des molécules chimiques, des changements de courants, des changements d’énergies. Alors, encore une fois, c’est une question de dose : très peu et vous aurez très peu de fluctuation, très peu de changements dans votre corps, et si vous mettez beaucoup de molécules chimiques dans votre corps, à ce moment-là vous allez provoquer des arrêts de l’énergie dans certains centres vitaux, qui vont en cascade, provoquer les arrêts d’énergie dans d’autres centres vitaux vraiment comme un fluide. Imaginez vraiment ceci comme une rivière qui coule. Les molécules conventionnelles vont se dissoudre dans cette eau et les molécules chimiques vont se transformer en cailloux, en pierres. C’est une image bien sûr.
Bien sûr que c’est une représentation, mais vous pouvez enlever ces cailloux. Plus vous laissez votre fluidité intérieure, plus vous laissez la Paix – pour utiliser un autre mot – vous envahir, et plus cette Paix provoquera et génèrera des systèmes d’auto régularisation de votre expérience et de votre corps aussi.
C’est pourquoi le calme, la paix, vous amèneront toujours à la guérison. J’insiste sur le mot « toujours » parce que, pour ceux qui ont l’impression d’être en paix et qui semblent encore malades, c’est souvent cette paix qui est une fausse paix, quelque chose qui est plutôt mis de côté, renié, que quelque chose qui est intégré, naturel et vrai.
A l’origine de la fabrication de vos corps par des êtres galactiques, mais ce n’est pas l’histoire que je vais vous raconter ce soir, mais à l’origine de votre corps, ceux-ci ont un potentiel d’une durée de vie d’environ deux cents ans. Aujourd’hui, vous arrivez à les mener à un peu moins de la moitié de ces deux cents ans, parce que vous commencez à travailler de plus en plus les aspects naturels. Bien sûr, vous avez appris des modes de vie différents, vous avez appris à ne pas user trop votre corps. Votre monde moderne vous a permis cela, mais vous apprenez aussi à ne pas trop épuiser votre esprit, à rester en paix, à ne pas vivre dans une inquiétude permanente et délétère.
Je ne demanderai pas, pour ma part, un lâcher prise total sur ce qu’il se passe mais peut-être une certaine confiance dans la vie, une confiance dans le fait que tout va arriver de manière fluide et constante, et – j’utiliserai souvent ce terme de fluidité, parce que c’est celui qui correspond le mieux à l’énergie vitale qui vous traverse – une nécessité de fluidité, une nécessité de laisser circuler l’énergie en chacun d’entre vous.
Lorsque vous utilisez des thérapeutes énergétiques, ceux-ci rajoutent de la fluidité là où il n’y en avait pas, permettent aux fluides de votre corps de circuler un peu plus rapidement, créant une certaine pression qui peut dissoudre certains de ces points énergétiques engrammés, compactés dans votre corps. Mais même eux, même ces guérisseurs, quelle que soit la thérapie qu’ils utilisent, ne pourront rien faire contre quelqu’un qui conserve ses habitudes de vie et qui garde ses peurs, qui garde ses angoisses, qui garde sa colère parfois, ses rancœurs, ses contrecœurs, ses rejets, ses trahisons sans pardon, recréant ainsi le processus qui a amené la maladie.
Alors mon invitation à la bonne santé, c’est tout simplement de rester fluide, de rester ces êtres qui peuvent être, un minimum, confiants en la vie, un minimum, confiants dans le fait qu’ils ont toujours été portés, toujours été guidés, au bon moment, au bon endroit. Ne vous inquiétez pas des circonstances, elles vous auront appris, ou vous auront permis de faire apprendre à vos frères et sœurs ce qui était nécessaire.
L’expérience de la vie est une expérience d’union, une expérience d’amour, une expérience de collaboration.
Je suis un archange guérisseur. Lorsque vous m’appellerez, lorsque vous m’invoquerez, je viendrai vous aider, je viendrai porter un soin, je viendrai porter une énergie, parfois même, je lèverai le poids de la maladie, le temps nécessaire à votre changement de comportement. Mais ce changement de comportement, ce changement d’attitude, ce changement d’habitude, je ne peux pas le faire à votre place.
Ainsi, la seule et vraie guérison définitive est l’amour permanent, une paix quasi permanente. Cela est une guérison, une vraie guérison.
Avec cet esprit-là, avec cet état d’être-là, vous pourriez même vivre des centaines d’années avec une maladie. Autrement dit, celle-ci vous accompagnerait mais elle ne vous tuerait point, elle ne vous ferait pas de mal, elle serait là comme une vieille trace, comme une vieille cicatrice énergétique, mais vous pourriez passer outre.
Bien des êtres dans votre temps, bien des êtres dans vos temps, ont vécu très longtemps et en bonne santé apparente, alors qu’ils pouvaient avoir de gros soucis réels – entre guillemets « réels » – c’est-à-dire impactés dans le monde tridimensionnel qui est le vôtre.
Mes amis, la confiance en Dieu ne se décide pas, la confiance en Dieu ne se décrète pas. C’est une autorisation que vous Lui donnez et que vous vous donnez à connaître la Paix et l’Amour le plus grand qui soit, pas un choix de dire : « oui, je vais essayer », mais un choix profond, un changement de dogme : « je vais accepter la Présence divine en moi. »
Vous savez, ma prière de guérison, celle que j’utilise quand certains d’entre vous m’appellent, consiste simplement à demander au Divin de reconnaître chaque particule du corps qui m’appelle, du cœur qui m’appelle comme étant saine. Je rappelle au fils qui est le Père, et je rappelle au Père qui est le Fils. Je relie, je crée l’Amour là où il n’était plus. C’est ainsi que se crée la guérison, en pacifiant, en harmonisant, en aimant.
Beaucoup d’entre vous ont ou vont me demander un remède, pour une chose ou pour une autre. Je trouverai toujours et souvent ce qui peut vous donner un coup de pouce, comme vous dites, un élan, une fortification. Je vous en donnerai l’instinct, je vous en donnerai la connaissance. Mais n’oubliez pas : l’attitude, le comportement, l’état d’esprit, l’état d’être dans votre esprit, est la source de tous les bienfaits pour toutes les dimensions de votre corps.
La peur est l’ennemi. L’Amour est l’ami. Mais la peur peut aussi être l’ami, celle qui va provoquer l’amour, obliger l’amour, qui va vous montrer le progrès à faire. Alors ne maudissez pas la peur. Ne vous dites pas : « Ah ! j’aimerais qu’il n’y ait pas de peurs », car elles sont aussi apprenantes. Vous êtes dans une dimension duelle. Donc elle est faite, cette dimension, naturellement, elle est faite de peur et d’amour. Mais elle est faite comme une cour d’apprentissage pour dépasser ces peurs.
Vous saurez que vous êtes en paix, le jour où vous pourrez vous dire : « si je tombais d’un avion ce ne serait pas bien grave », en cessant d’imaginer la peur ou l’angoisse que vous pourriez avoir pour vos proches, pour vous-même, pour le monde et en étant dans un état total de détachement, de détachement de la forme pas de l’expérience, puisque l’expérience va continuer même sans la forme, toujours.
Elle est éternelle cette expérience que vous êtes en train de vivre. Elle n’est pas parcellaire, elle n’est pas indépendante. Elle est commune, elle est complète. Elle est dans l’intelligence divine qui vous traverse.
Guérir, c’est retrouver la Joie. C’est rire de chaque chose, dans la compréhension qu’elle n’est rien cette chose ; pas de se répéter matin, midi et soir : « ceci est une illusion, ceci est une illusion », cela va finir par créer la peur de ne pas y être bien ou de ne pas avoir envie d’y être. C’est important de savoir qu’effectivement votre corps est une illusion, mais c’est important de savoir que c’est l’illusion que vous avez créée, vous, pour vivre l’Amour. Ce n’est pas une illusion subie, c’est une illusion choisie.
Continuez à faire appel à moi. Continuez à faire appel au Père, aux anges, à ceux en qui vous croyez, pour vous aider. Ceux-ci ramèneront l’Amour dans le corps de l’homme, amèneront l’Amour dans le cœur du monde.
Je vous l’ai dit, tout ce qui sépare, rend malade. Vous comprendrez que les circonstances actuelles qui vous ont été imposées durant ces derniers mois, ont créé des séparations inutiles et ont finalement, vous le verrez plus tard, peut-être, engendré d’autres maladies, d’autres conséquences. Et c’est la réunification, c’est un peuple uni, une conscience unie qui va ramener tout ce processus de vie dans chacun de vos corps.
J’entends beaucoup de demandes de soins, beaucoup de demandes d’aide et j’y réponds sincèrement, pleinement et entièrement. Ne croyez pas qu’il faille un délai, une position particulière pour que j’intervienne pour vous. Je le ferai systématiquement. Je corrigerai, j’amènerai une intuition, je guérirai complètement le cas échéant, si la personne a suffisamment travaillé son énergie, au bon endroit, de manière bien placée c’est-à-dire pas de manière égoïste mais de manière communautaire.
Guérir ce n’est pas guérir pour soi, c’est guérir pour le monde. On dit d’un homme sacré qu’il a donné sa vie pour sauver le monde. C’est bien sûr un symbole, qui vous permet de vous souvenir que votre corps est aussi un hologramme de ce monde. La guérison n’est pas un processus qui s’opère pour un mais pour le « Un », pour l’unité toute entière.
Vous êtes invités à demander la guérison pour vous, pour ce monde, pour tous ceux qui souffrent peut-être de la même infirmité, maladie, malaise, que vous – oh ! pas cent fois par jour, une fois, de manière sincère.
Votre planète actuellement commence à traverser un espace interplanétaire puissant, vous permettant de recevoir des particules d’énergies, des particules vitales, qui font des modifications dans votre corps adamantin, diamant, cristal – appelez cela comme vous voulez. Ces modifications accélèrent les conséquences que peuvent avoir vos émotions sur vous, positives ou négatives et ce corps cristallin accélère aussi la possibilité que vous avez de manifester votre plein pouvoir et votre pleine énergie dans ce monde.
N’oubliez pas, je l’ai dit au début, c’est bien vous qui, dans la forme, avez pouvoir d’accélération, de diminution, de compensation d’une énergie. C’est vous qui avez cette force-là, pas nous mais bien vous. Une guérison intervient, c’est parce que vous l’avez acceptée, parce que le travail a déjà commencé en vous, par vous, pour vous.
Je vous invite à réfléchir de cette manière si vous le voulez bien. A chaque fois que vous demandez une guérison, pensez à ce que vous allez changer dans votre vie après. Ne vous contentez pas d’un : « Si je n’étais plus malade, ça irait mieux » mais placez, pour vous et en vous : « quand j’irai mieux, je ferai ceci que je ne faisais pas avant » et faites-le, ne trahissez pas l’énergie, ne trahissez pas l’Amour. Trahir l’Amour est le péché capital qui vous fera perdre du temps, juste du temps, car on revient toujours à l’Unité. Vous reviendrez toujours à l’unité, à Celui qui sait, qui sait TOUT.
Votre vision et notre vision ne peuvent être que parcellaires car Il est issu d’un monde, j’allais dire où rien ne se passe. Ce n’est pas vrai, il s’y passe beaucoup de choses, mais Il est issu d’un monde qui ne s’inquiète pas de la forme, car nous savons qu’elle n’est que temporaire, qu’elle n’existe pas, que seules les informations que nous diffusons, que seuls les messages dans le corps sous forme d’énergie, une information densifiée devient un médicament, c’est cela qui agit, une information qui rentre dans la matière.
Une information qui rentre dans la matière c’est une information qui est densifiée et/ou acceptée simplement. Dès que vous acceptez quelque chose comme étant vrai, cela a déjà un impact dans tout le système d’information entier de votre corps.
Mes amis, je suis là pour vous maintenir en santé grâce à la Flamme Verte, grâce à d’autres types d’énergies, grâce à des informations, à des intuitions, à des comportements changeants. Je serai à vos côtés. Je continuerai à l’être et j’aurai d’autres discours à vous proposer sur ce même sujet, si vaste.
Je vous laisse effectivement dans les bras de l’archange Gabriel. Il va continuer je pense, oui, à parler de santé, mais sous un angle peut-être différent pour vous.
Soyez remerciés de votre écoute.
Bénis soyez-vous dans ces instants et dans tous les instants.
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
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